EFT pour une extraction dentaire et une séance express pour une douleur aux cervicales.

EFT pour une extraction dentaire et une séance express pour une douleur aux cervicales.

Récemment j’ai dû aller chez le dentiste pour me faire arracher une molaire que je ne pouvais plus garder.
Avant d’y aller je me suis préparé à l’intervention. J’ai d’abord tapoté sur toutes les appréhensions que je pouvais avoir. Puis, tout en tapotant sur les points EFT, j’ai eu une conversation avec ma dent et mes gencives. J’ai remercié ma dent pour toutes les services qu’elle m’avait rendu jusque là et je lui ai dit que j’allais devoir me séparer d’elle. J’ai aussi remercié ma gencive d’avoir si bien tenu ma dent jusque là, puis je lui ai demandé de relâcher ma dent en douceur.

Lorsque je suis arrivée chez le dentiste son assistante m’a dit qu’on ne pouvait pas m’arracher la dent car je n’avais pas fait la préparation homéopathique nécessaire. Je lui ai dit que j’avais fait ma propre préparation personnelle et qu’il pouvait  procéder à l’intervention.

La dent est sortie très facilement et l’assistante a dit « En effet, votre dent est sortie quasi toute seule. En plus, vous avez à peine saigné malgré le fait que c’était une grosse dent avec quatre racines. »

Intriguée, elle m’a demandé quelle était la technique que j’avais utilisée. Après que je lui ai donné une courte explication de l’EFT, elle m’a demandé si ça marchait aussi sur les douleurs cervicales. (J’avais remarqué qu’elle n’avait pas été très souriante ce jour là,  ce qui n’était pas à son habitude, et qu’elle se frottait souvent le cou). Je lui ai demandé s’il elle avait un peu de temps et si elle voulait essayer l’EFT sur ses douleurs, et elle m’a dit oui mais qu’elle avait 5 minutes avant de préparer le prochain patient.
Ayant si peu de temps, j’ai décidé de pratiquer une variante rapide de l’EFT. Je lui ai dit de se concentrer sur sa douleur, de la décrire en détail et de m’évaluer la douleur sur une échelle de 0 à 10. Elle m’a dit « 8 ».
Alors j’ai juste tapoté sur 4 des points EFT (début du sourcil, coin de l’œil, sous l’œil, clavicule) en lui faisant répéter « Je laisse partir, je libère cette douleur en toute sécurité, je laisse partir », puis je lui ai saisi le poignet et je lui ai demandé d’inspirer et d’expirer en lui disant de tout laisser partir.

Puis, je lui ai demandé à nouveau d’évaluer sa douleur.  Elle a ouvert grand les yeux et elle m’a dit « Dites donc, ça marche votre truc, c’est descendu à 3 ! »
Je lui ai demandé alors depuis quand elle avait cette douleur et qu’est-ce qui s’était passé et elle m’a dit: « Depuis une semaine. Je venais d’apprendre une nouvelle à propos de ma santé et depuis j’ai très peur » Alors on a fait une ronde sur cette peur et je lui ai demandé d’évaluer à nouveau sa douleur. Elle m’a alors dit « C’est parti! »

Après ça je suis rentrée chez moi et j’ai de nouveau pratiqué un peu d’EFT, mais cette fois-ci en appliquant une autre variante incluant les étapes de l’Ho’ponopono, une pratique ancestrale Hawaïenne.

En tapotant sur les points je disais « Je suis désolé pour le traumatisme que vous avez traversé, s’il vous plaît pardonnez-moi de ne pas avoir pris assez soin de vous et de vous faire subir cette opération, je vous remercie pour le bon travail que vous avez fait, d’avoir si bien tenu mes dents etc., et enfin, je leur ai envoyé de l’amour. Ensuite, j’ai dit, « C’est ok, c’est fini, vous êtes en sécurité et vous pouvez guérir maintenant. »

Le dentiste m’avait donné une ordonnance pour des antidouleurs et il m’avait dit d’appliquer de la glace sur ma joue en cas d’inflammation, mais lorsque les effets de l’anesthésie sont partis, je n’ai senti aucune douleur et je n’ai pas eu d’inflammation.

J’ai compris qu’il est important de parler à son corps et d’imaginer ce qu’il peut ressentir, comme s’il était une personne. Il ne faut pas oublier que notre corps est notre allié et serviteur (tout comme notre subconscient) et qu’on peut lui donner des instructions.

On passe beaucoup de temps à s’insulter et à dire des choses comme: « Je n’aime pas mes pieds, mes seins, je déteste mes fesses, mon ventre. »
Et si on faisait un peu de Ho’ponopono pour eux?  Quand on lit les travaux du professeur Masaru Emoto et quand on sait que notre corps est fait majoritairement d’eau cela devient encore plus évident !

Christine Blanchet

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